Où dormir à Marrakech?
La medersa ben Youssef est l'un des monuments historiques les plus importants à Marrakech. C’est aussi l'une des plus grandes medersa (= école coranique) du Maghreb, elle fut longtemps considérée comme la plus somptueuse du monde arabe.
Fondée au XIV ème siècle, puis reconstruite et embellie en 1565 par le prince Saadien Moulay Abdallah, qui en fit la renommée au-delà des frontières du Royaume.
A l’étage se trouvent les 132 chambres réservées aux étudiants de la médersa (à une époque, l’école compta jusqu’à 900 élèves).
La décoration des salles est un harmonieux mélange de marbre et de bois de cèdre, de stuc et de mosaïque. Inscrit sur les chapiteaux de la salle de prière ainsi que sur le linteau de la porte d’entrée : «
J’ai été édifiée pour les sciences et la prière par le Prince des Croyants, le descendant du sceau des prophètes, Abdallah, le plus glorieux des Califes. Prie pour lui, ô toi qui franchis ma porte, afin que ses espérances les plus hautes soient réalisées ».
Ce n’est que depuis 1982 que des travaux de restauration permirent aux voyageurs de découvrir ce chef-d’œuvre de l’art marocain.
La medersa ben Youssef est l'un des monuments historiques les plus importants à Marrakech. C’est aussi l'une des plus grandes medersa (= école coranique) du Maghreb, elle fut longtemps considérée comme la plus somptueuse du monde arabe.
Fondée au XIV ème siècle, puis reconstruite et embellie en 1565 par le prince Saadien Moulay Abdallah, qui en fit la renommée au-delà des frontières du Royaume.
A l’étage se trouvent les 132 chambres réservées aux étudiants de la médersa (à une époque, l’école compta jusqu’à 900 élèves).
La décoration des salles est un harmonieux mélange de marbre et de bois de cèdre, de stuc et de mosaïque. Inscrit sur les chapiteaux de la salle de prière ainsi que sur le linteau de la porte d’entrée : «
J’ai été édifiée pour les sciences et la prière par le Prince des Croyants, le descendant du sceau des prophètes, Abdallah, le plus glorieux des Califes. Prie pour lui, ô toi qui franchis ma porte, afin que ses espérances les plus hautes soient réalisées ».
Ce n’est que depuis 1982 que des travaux de restauration permirent aux voyageurs de découvrir ce chef-d’œuvre de l’art marocain.